Sic transit amor mundi.

Publié le par marie-mutine

« Sic transit amor mundi ...« 

 

Il n'était éternel, ce destin loin du gris !

L'amour a ranimé, fulguré, la lumière.

Hélas ! Empoisonnée, une étreinte dernière...

Ce fut bref..... Leurs espoirs, désirs, anéantis !

 

Le tunnel débouchait sur un vert paradis...

Mais la bise a soufflé sur le tendre parterre,

Elle a couché les fleurs sur le noir de la terre,

Eteint tout le soleil en de sombres lavis.

 

Les déserts de la mort étaient tout refleuris,

Après tant de longs mois de solitude amère...

Furtivement, la nuit poignarde la chimère,

Et le vent fait son oeuvre, arrachant les taillis.

Pour être informé des derniers articles, inscrivez vous :
Commenter cet article